Description
Serviette éponge pompons multicolores crush finition Lamu
La serviette éponge à pompons multicolores crush Lamu est en éponge de coton blanc à bouclettes hautes avec un poids de 700g par mètre carré. Les pompons sont entièrement faits main par des artisans qualifiés.
« La serviette éponge pompons crush est née l’année de mon arrivée à Marrakech. Je me suis inspirée du « mendil », une étoffe traditionnelle du Rif, région située dans le nord du pays, que les femmes portent sur leurs hanches quand elles travaillent dans les champs. » Le mendil est tissé à la main principalement dans les villes de Tanger, Tétouan et Chefchaouen. Pour moi, travailler du linge de maison intemporel et de qualité s’inscrit dans une démarche respectueuse de la main de l’homme. Travailler un linge de maison fait main symbolise la continuation de traditions ancestrales.
Vous trouverez plus d’informations sur mon travail ici.
Il existe 4 dimensions pour le linge de bain blanc à pompons brodés main Lamu crush :
Drap de bain éponge pompons crush 100cm x 150cm
Serviette bain éponge pompons crush 50cm x 100cm
Serviette invité éponge pompons crush 30cm x 50cm
Tapis de bain 54cm x 90cm
Le linge de bain Lamu s’assemble bien avec les finitions MEMBA et TULUM.
Le modèle Lamu se décline dans une multitude de coloris. Outre les nuanciers de notre shop il vous est possible de personnaliser les coloris unis des pompons. Pour toute demande de personnalisation ou commande de linge de bain sur mesure vous pouvez nous contacter à sales@valeriebarkowski.com. Notre équipe est à votre écoute et vous conseillera afin de se rapprocher au plus proche de vos besoins.
Notre philosophie
La production de nos collections et produits est respectueuse de l’homme et de notre environnement. Nos produits intemporels, raffinés et de qualité traversent le temps et se transmettent parfois de génération en génération. Tous nos artisans sont qualifiés et travaillent dans des conditions loyales et officielles. Notre écosystème est transparent. Depuis 20 ans nous nous sommes inscrits dans une « slow production » qui semble prendre tout son sens aujourd’hui. »